Dying is a wild night
Edité par No Format , 2013
Il y a dans cet album une modernité qui évoque volontiers la pop de Santigold et Goldfrapp. L'écriture est toujours aussi personnelle, la voix toujours aussi sensuelle et juvénile, mais les orchestrations explosent en un feu d'artifice inventif, qui fait la part belle aux rythmiques et à des sonorités plus synthétiques. L'étonnante reprise du Hash pipe de Weezer s'impose comme la touche rock d'un album à l'éclectisme élégant : rythmique afrobeat pour le premier single (Postman), soul chantée d'une voix de velours, pépites énergétiques et élancées ou tubes pop parfaitement balancés entre sonorités organiques et synthétiques.